Auteur : Chevy Stevens
Année : 2011
Langue : Français
Traducteur : Sebastian Danchin
Éditeur : L’archipel
Quatrième de couverture :
Annie O’Sullivan, 32 ans, est agent immobilier sur l’île de Vancouver. Par un beau dimanche ensoleillé d’août, alors qu’elle fait visiter une maison à un potentiel acquéreur, ce dernier lui plante le canon d’un revolver dans le dos et l’oblige à monter dans sa camionnette…
Quand Annie se réveille, elle est prisonnière dans une cabane isolée en pleine forêt. C’est le début d’un enfer qui durera plus d’un an : douze mois où le Monstre – comme Annie le surnomme – fera d’elle sa chose. Torture psychologique, abus sexuels… : tout y passera, jusqu’à ce que la jeune femme parvienne enfin à s’échapper.
Pourtant, le plus dur commence pour Annie, qui doit à présent surmonter son traumatisme, réapprendre à vivre normalement sans plus dormir enfermée dans un placard, seul lieu où elle se sent en sécurité, et, surtout, accepter l’effroyable vérité : elle connaît le commanditaire de son enlèvement…
Avis :
J’ai lu ce livre il y a plus de 6 mois, donc mon avis sera bref et peu détaillé. Excusez-moi ! Annie a été séquestrée pendant plus d’un an et a subit les pires choses. A présent, elle raconte. Alternant les séances chez son psy et le récit de son cauchemar, elle narre l’étendue de son calvaire. Calvaire passé, mais aussi et surtout calvaire présent. Elle est revenue physiquement saine et sauve, mais psychologiquement il lui est impossible de répondre aux requêtes de son entourage, à savoir à ce qu’elle redevienne « comme avant ». Ce livre est très dur. J’ai parfois eu l’impression que l’auteur exagérait gratuitement dans l’horreur. Cela dit, la tournure que prennent les évènements dans la seconde moitié du livre montre que le contexte de sa séquestration est encore plus malsain que ce qu’elle pensait. Que ce que tout le monde pensait.
Il s’agit ma foi d’un livre qui n’est pas sans intérêt, mais à réserver pour les fans du genre.
Je dois dire que ce genre ne me tente pas vraiment et ce que tu en dis me conforte dans ma position.
un livre que j’avais bien aimé.
Manu: je te comprends ! J’ai eu du mal à un moment, pourtant je lis ce genre de livres. J’ai eu l’impression que l’aueur se livrait parfois à un fantasme malsain (elle est agent immobilier comme son personnage)
Lystig:
Un roman que j’avais bien aimé.
je passe complètement mon tour…en ce moment j’ai besoin de positif
un titre que j’ai depuis longtemps noté, mais je ne suis pas dans ce trio en ce moment… j’y viendrai plus tard!
J’avais passé un très bon moment avec ce roman…!
Je me souviens avoir bien aimé ce roman.