***** Très bonne lecture
Quatrième de couverture :
Alors qu’à Tokyo deux cadavres d’hommes empoisonnés par une substance indécelable embarrassent la police japonaise, en France un commandant de la brigade criminelle est chargé d’élucider la mort d’un riche Japonais lui aussi empoisonné par un produit inconnu. Des deux côtés de la planète, des crimes qui, a priori, n’ont rien à voir, sauf que… Le commandant Simmeo, passionné d’art, découvre qu’ils sont liés par les yakuzas. Voilà la Crim’ du 36, quai des Orfèvres obligée de travailler avec son homologue japonaise, aux méthodes bien différentes, pour coincer un coupable qui utilise la cuisine moléculaire pour parvenir à ses fins… Entre Paris et Tokyo, une sidérante plongée dans les eaux troubles de la gastronomie et de la science.
Avis :
J’ai reçu ce livre à Noël alors que je n’en connaissais même pas l’existence. Quel beau cadeau !
Entre France et Japon, de la mafia, de la nourriture, des morts naturelles tout à fait suspectes. Ajoutez à celà un policier qui a du nez rencontrant un autre policier qui en a tout autant.
J’ai beaucoup aimé ce livre qui m’a plongée au coeur d’une bien sombre histoire. Il est truffé de jeux de mots disséminés (la cuisine est une arme de destruction lascive) l’air de rien.
On en apprend un peu plus aussi sur le fonctionnement des yakuzas, la mafia japonaise.
On ne meurt pas la bouche pleine, Odile Bouhier & Thierry Marx, Sang neuf, 2017
Je suis un peu déçu par ce roman qui ne tient pas toutes ses promesses mais qui reste pas mal du tout quand même