***** ça passe…
Quatrième de couverture :
Il n’y avait que cette phrase sur la première page, écrite à l’encre bleue, presque délavée. Lysange eut comme le sentiment que ces phrases s’adressaient directement à elle et cela lui ôta tout scrupule pour commencer à lire ce qui avait tout l’air d’être un journal de bord.
Avis :
Lysange reçoit une proposition hors du commun, celle d’un homme lui proposant de lui confier sa cabane au bord de l’eau dans le sud de la France. Cet homme, elle ne le connaît pas, mais elle accepte. Là-bas, elle va tomber sur le journal de bord de Soeur Madeleine et elle le lira. Le récit alterne entre les pages du journal et la vie de Lysange. Sa vie sentimentale plus précisément, puisqu’elle est en crise intérieure, entre son mari, son amant et ses enfants.
Ce livre est très prenant. J’avoue que le journal de soeur Madeleine m’enchante et j’aime à retrouver ces pages. Concernant la vie de Lysange je suis plus mitigée. Non pas à cause de l’histoire, mais à cause du style long et en continuel épanchement. Je suis certaine que le livre pourrait faire 100 pages de moins sans perdre de son contenu, rien qu’en réduisant ces passages.
Cela dit, il s’agit d’un livre avec lequel j’ai passé un bon moment.
Ce livre a été lu en lecture commune avec Martine 🙂
Contente de lire ton avis et d’avoir partagé cette lecture avec toi. Une petite déception pour moi cependant liée à un ennui avéré qui m’a fait interrompre cette lecture avant de la terminer ces jours-ci! Merci encore pour cette Lecture commune! Bon week-end!
Je n’ai lu que La grand-mère de Jade de cette auteure et je n’ai pas été emballée.
Un roman qui m’avait un peu déçu, à cause de ses longueurs.
Martine : il est vrai que les passages « introspection » sont looooongs ! J’ai aimé aussi partage ce moment avec toi Valérie : J’ai un autre livre de l’auteur dans ma PAL (la vie d’une autre)… je vais attendre un peu avant de l’ouvrir.
Alex : oui pareil. Les longueurs sont dommages car le fond est sympathique.
Pareil comme Valérie… je pense que je vais passer, même si l’idée de base m’intéressait.
Finalement, il me tente bien!